Arkona, c’est toujours une grande expérience. D’une part, ils font parti de mes groupes préférés, d’autre part, ils semblent toujours en forme sur scène. Ça c’était pour le côté musical.
Pour le côté photographie, c’est aussi toujours une grande expérience: Masha qui s’agite tout le temps, scène plongée en permanence dans une lumière peu intense, de préférence totalement rouge ou verte, avec de temps à autre de violents contre-jours qui ne durent que quelques secondes, avant de revenir dans l’obscurité. Bref, le cauchemar du photographe incarné en un groupe !
Retrouvez prochainement le live report complet sur La Grosse Radio.